Nouvelleversion de l'épisode "pourquoi laisser passer les autres avant soi et comment le faire" Aller au contenu. Un peu de sagesse au quotidien; Déjà inscrit ? Connexion. Se souvenir de
0016:42 - Je reviens vers vous avec un nouvel épisode sur le thÚme des relations "nous et les autres" et on va reparler d'un de nos sujets de départ: "laisser Quand se sacrifier pour les autres procure du bonheur | Listen Notes
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Fast Money. Non, non et non ! Bien que beaucoup de personnes le pensent, et parfois parmi les plus intelligentes comme quoi, le QI a ses limites..., câest tout simplement faux. Gustave Flaubert Ă©crivait par exemple Ătre bĂȘte, Ă©goĂŻste et en bonne santĂ© voilĂ les trois conditions requises pour ĂȘtre heureux », mais sa correspondance de fin de vie montre quâil regretta ensuite ce genre de dĂ©clarations anti-bonheur. Ou bien, câest un problĂšme de dĂ©finition de lâĂ©goĂŻsme sâaimer et tenir compte de soi et vouloir vivre heureux, ce nâest pas de lâĂ©goĂŻsme. LâĂ©goĂŻsme, le vrai, câest ne pas tenir compte des autres, toujours les faire passer aprĂšs soi. Alors, au contraire, cet Ă©goĂŻsme ferme la porte au bonheur, condamne Ă de petits plaisirs mesquins, matĂ©rialistes, au goĂ»t amer de solitude. Comme ceux dâun enfant qui a pris tous les jouets, Ă©cartĂ© ses copains, et qui se retrouve tout seul dans sa chambre pour jouer Ă quoi ? avec qui ? Le bonheur Ă©touffe dans lâĂ©goĂŻsme toutes les Ă©tudes montrent que plus on est heureux plus on a envie de se tourner vers les autres, de partager. Et que beaucoup de nos bonheurs viennent des autres affections, amitiĂ©s, amours⊠Ces envies dâĂ©goĂŻsme viennent parfois Ă celles et ceux qui ont trop donnĂ©, et qui sont blessĂ©s par ce quâils perçoivent ensuite comme de lâindiffĂ©rence ou de lâingratitude ils se disent alors eh bien, puisque câest ainsi, je vais devenir plus Ă©goĂŻste ». Erreur et risque ! Mieux vaudrait se dire Non, continue de donner, mais sans te sacrifier, et sans attente de retour. Donne parce que cela te rend heureux et que câest ton boulot dâhumain de donner et de partager. Mais ne deviens pas Ă©goĂŻste, pas avare de toi-mĂȘme et de ce quâil y a de bon en toi⊠» A voir aussi sur L'Ă©goĂŻsme a aussi du bonTest Quelle Ă©goĂŻste ĂȘtes-vous ?
Il ya 4 ans, j'ai rencontrĂ© une fille en stage de langue Ă Dublin. DĂ©s que nous avons fait connaissance, on s'est bien entendu. Puis, deux jours plus tard, on est sorti ensemble. Nous passions tous nos moments ensemble cours, recrĂ©, diner, sortie . Autrement dit, on ne se quitter plus. Puis aprĂšs quelques jours, nous avons vu que notre anglais ne s'amĂ©liorer pas puique nous parlions français ensemble.. AprĂšs un jour, elle ma dit je taime beaucoup mais aimer ce n'est pas lui faire du mal . Si on lui fait du mal , aimer quitter l'autre mĂȘme si on va souffrir... Et elle est partie.. Puis je ne l'ai jamais revu depuis. Mais ses propos sont toujours rester dans mon esprit . .aimer ce n'est pas lui faire du mal . Si on lui fait du mal , aimer quitter l'autre mĂȘme si on va souffrir... Que pensez vous de cette citation ??? $đ€Ș
Le sujet de Philosophie sujet 2 Doit-on tout faire pour ĂȘtre heureux ?Le corrigĂ© de Philosophie sujet 2, Bac L ProblĂ©matisation possible Tous les hommes recherchent dâĂȘtre heureux. Cela est sans exceptions, quelques diffĂ©rents moyens qu'ils y emploient. Ils tendent tous Ă ce but. ⊠La volontĂ© ne fait jamais la moindre dĂ©marche que vers cet objet. C'est le motif de toutes les actions de tous les hommes. Jusqu'Ă ceux qui vont se pendre » soulignait Pascal. Câest pourquoi ce sujet peut surprendre, car le doit-on » semble de trop, nous faisons nĂ©cessairement tout pour ĂȘtre heureux. Mais justement ce sujet invite Ă sâinterroger sur cette apparente Ă©vidence de la recherche du bonheur et cela selon deux recherche naturelle autorise-t-elle tous les moyens ? Notre bonheur vaut-il quâon lui sacrifie tout ? Peut-on accepter par exemple de payer notre bonheur au prix de notre libertĂ© ou de celle des autres ? Et en invitant Ă sâinterroger sur les moyens, ce sujet invite aussi Ă penser les fins de notre existence, si nous cherchons Ă ĂȘtre heureux, le bonheur est-il la seule fin de notre existence ou devons-nous avoir dâautres fins, exigences, qui dâailleurs peuvent aussi ĂȘtre une des conditions dâun bonheur rĂ©el et plein ? Pouvons-nous ĂȘtre heureux si nous ne sommes pas justes, pas libres, si notre bonheur exige le malheur des autres ? Ne devons-nous pas dâabord chercher Ă ĂȘtre juste, vertueux, libre pour ĂȘtre ensuite heureux, dâautant que le bonheur au sens dâĂ©tat de totale satisfaction peut sembler ĂȘtre inaccessible? Faut-il suspendre son existence Ă un but soit insuffisant, soit inaccessible ? Donc le doit-on » pouvait ĂȘtre pris en deux sens "ĂȘtre nĂ©cessaire" ce qui ne peut ne pas ĂȘtre ou "ĂȘtre un devoir de" dimension morale, activitĂ© exigible dâun homme au regard de sa nature â dâĂȘtre pensant, conscient, rationnel, dâĂȘtre culturel, dâĂȘtre politique... Ce sujet invite donc Ă penser ce qui fait quâune existence vaut dâĂȘtre vĂ©cue et si le bonheur au sens de satisfaction de tous nos dĂ©sirs, de somme de plaisirs peut ĂȘtre atteint et faire quâune existence est satisfaisante et si lâhomme ne peut pas se donner dâautres fins que le bonheur. On pouvait enfin aussi jouer sur le sens dâ ĂȘtre heureux », en opposant ĂȘtre et devenir, le bonheur est peut ĂȘtre davantage dans la recherche, la chasse, le mouvement que dans la prise et un Ă©tat. Le bonheur est peut-ĂȘtre davantage dans la capacitĂ© de saisir ce qui est, de ne pas passer Ă cĂŽtĂ© que dans la construction, la projection dans le futur. Il y avait plusieurs plans possibles pour traiter ce problĂšme. Un plan possible I. Il semble que nous ne puissions pas ne pas tout faire pour ĂȘtre heureux.doit-on = est-il nĂ©cessaire, bonheur = Ă©tat de plaisir, somme de plaisirs- on peut constater que tout homme aspire Ă ĂȘtre heureux, câest-Ă -dire Ă fuir les douleurs et Ă ĂȘtre en quĂȘte de jouissances et plaisirs. Câest comme le soutenait Freud le principe de plaisir qui dĂ©termine le but de notre vie, et qui rĂ©git les processus de notre appareil si le bonheur est la fin de nos fins, mĂȘme si nous en poursuivons dâautres ponctuellement, elles sont parce quâelles contribuent Ă notre bonheur. Nous ne pouvons pas ne pas vouloir notre bonheur. On peut mĂȘme penser quâil y a une sorte dâassignation Ă ĂȘtre heureux, quand le bonheur est permis et que lâon a tout pour ĂȘtre heureux, comme on il semble donc naturel conforme Ă notre nature de tout mettre en Ćuvre pour ĂȘtre heureux soit en sâabandonnant aux dĂ©sirs thĂšse hĂ©doniste soit en sâefforçant de les maĂźtriser, de les discriminer selon le critĂšre de la nature et de la nĂ©cessitĂ© philosophie Ă©picurienne Cela suggĂšre que tous les dĂ©sirs ne sont pas source dâun Ă©tat de plaisir, et que donc tout faire pour ĂȘtre heureux, ce nâest pas pour autant tout faire. Le bonheur comme Ă©tat de satisfaction totale ne peut peut-ĂȘtre pas se rĂ©duire Ă une somme de plaisirs indistincts, lâhomme se rĂ©duit-il au dĂ©sir, Ă la recherche de lâagrĂ©able? II. Il apparaĂźt que la recherche du bonheur ne puisse pas tout autoriser, non seulement tous les moyens ne mĂšnent pas Ă cette fin mais elle ne justifie pas tous les moyens- le bonheur exige donc une maĂźtrise des dĂ©sirs plutĂŽt quâun abandon, une maĂźtrise de soi. Sacrifier au moindre de ses dĂ©sirs ne fait sans doute pas le si lâhomme est un ĂȘtre de dĂ©sir, un ĂȘtre sensible recherchant naturellement le plaisir et fuyant tout aussi naturellement la douleur, câest aussi un ĂȘtre de raison et de conscience conscience sans laquelle le bonheur ne peut ĂȘtre. Le bonheur nâest pas seulement une somme de plaisirs, il est un Ă©tat de totale satisfaction. Or cette raison et cette conscience exigent de lâhomme quâil soit Ă la hauteur de la dignitĂ© que celles-ci lui confĂšrent en tant que sujet. Si on peut tout sacrifier Ă notre bonheur, on nâa pas peut-ĂȘtre le droit de le faire. On peut penser que lâon nâa pas le droit peut-ĂȘtre de sacrifier notre libertĂ© ou celle des autres Ă notre bonheur. La servitude volontaire mĂȘme si elle est confortable peut ĂȘtre condamnĂ©e dâun point de vue moral, selon La BoĂ©tie, Rousseau ou Tocqueville. Une vie dâesclave mĂȘme confortable ne peut ĂȘtre satisfaisante. Notre sĂ©curitĂ© et notre prospĂ©ritĂ© ne peuvent se payer au prix de notre des impĂ©ratifs moraux pĂšsent donc sur notre existence en tant que sujet conscient en mĂȘme temps quâils nous obligent Ă ne pas se contenter dâune existence bestiale, animale mĂȘme si en un sens elle pourrait ĂȘtre heureuse. Nous nous devons dâĂȘtre moraux, vertueux, de faire le bien avant que de faire ce qui nous est agrĂ©able. Câest la thĂšse de Kant qui fait mĂȘme de la vertu la destination de notre existence et qui soutient quâon ne peut Ă©chapper Ă la voix du devoir, Ă la culpabilitĂ©, donc quâon ne peut ĂȘtre heureux sans ĂȘtre vertueux. On pourrait en dire autant dâune existence sans libertĂ©. Comment ĂȘtre heureux sans ĂȘtre libre ? Ne faut-il pas dâailleurs rechercher plutĂŽt ce qui dĂ©pend de nous que de suspendre sa vie Ă un but inaccessible ou qui ne dĂ©pend pas que nous et qui, visĂ© mais non atteint, peut nous rendre mĂ©chants ? III. On ne doit pas faire tout pour ĂȘtre heureux- car le bonheur au sens dâĂ©tat de plaisir ne dĂ©pend pas que de nous, donc se donner pour but dâĂȘtre heureux, câest sâexposer Ă la car le bonheur nâest pas dans la poursuite dâun futur en accord avec nos dĂ©sirs, mais dans la prise de conscience dâun prĂ©sent en accord avec notre volontĂ© OU Ă lâinverse il nâest pas dans lâĂ©tat atteint mais dans la recherche de cet Ă©tat on ne devrait tout faire pour ne pas ĂȘtre heureux en un sens ; malheur Ă celui qui nâa plus rien Ă dĂ©sirer⊠».- et il vaut mieux ĂȘtre Socrate insatisfait quâun porc satisfait », câest ce que soutenait Mill, qui, en utilitariste, associait pourtant le Bien Ă une arithmĂ©tique des plaisirs et dĂ©fendait lâidĂ©e dâune vraie libertĂ© individuelle, le droit Ă lâexcentricitĂ© dans la recherche de son bonheur. Read more
se sacrifier pour le bonheur des autres